- ...
utilisateurs1.1
- et qui consacre << l'homme textuel >>
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
texte2.1
- On remarquera déjà au tableau ci-dessus que les deux
opérations peuvent constituer une boucle.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
automatique2.2
- ou même semi-automatique ; la philosophie
principale ne change pas au fond, leur opposition étant celle du degré
et non pas de la méthode, cf. 2.1.2
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... largement2.3
- cf. grammaire transformationnelle
standard [12], ou étendue [13],
[14], [15], grammaire syntagmatique
généralisée [28], [29], grammaire
lexicale-fonctionnelle [9], etc.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... sémantique2.4
- nous utilisons les
résultats de l'analyse effectuée dans [57, p.225]
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... lecture2.5
- terme qui incorpore le lecteur et
la situation de l'interprétation et qui sera mieux exprimé plus
loin à l'aide du concept d'anagnose, cf. par exemple
3.1.4.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
informatiques2.6
- de tradition chomskienne : cf. [70], [82]
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
symétriques2.7
- La Sémantique Interprétative a précisément le
mérite d'insister sur la dissociation des processus générateurs de
sens de l'émetteur et du récepteur en rompant avec une
tradition, essentiellement fondée sur la théorie du signal, de
parfaite symétrisation entre le deux.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
linguistique2.8
- Considérer la compréhension d'un texte dans le
cadre d'une communication n'est pas une vision propre à la Sémantique
Intertextuelle ; cf., par exemple, sur << les caractéristiques de
l'acte de communication littéraire >> dans
[65, p.9]
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... texte2.9
- mieux même, il est << reconstruit >>
par le lecteur
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
avance2.10
- par exemple, des contraintes comme le consensus
sur un plan d'action, pour les dialogues directs, ou des contraintes
de méthode, pour la communication représentée dans les processus
d'interprétation
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... théorique2.11
- Cette conception est encore différente
de celle, plutôt inverse, de la recherche d'un consensus
méthodologique à l'aide de la machine dans les sciences humaines
[49]
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... littérature2.12
- Ce qui, étrangement, n'est pas très éloigné
d'une interprétation du << premier >> L.Wittgenstein, relevant,
cependant, d'une autre tradition, lorsque ce dernier écrit : << Ce
dont on ne peut parler, il faut le taire. >>
[83, p.107]
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... texte2.13
- D'ailleurs, suivant une
topique diachronique et diastratique, une image vaut mille mots, ou,
pour d'autres, mille pages.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... Pouchkine2.14
- ou, mieux, Puskin
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... émergence2.15
- allant jusqu'à prévenir le critique
littéraire anglo-américain qu'avant d'adopter une théorie de
l'intertextualité, il doit être conscient de son greffage idéologique
!
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
l'intertextualité2.16
- en effet le terme équivalent pour Genette
est plutôt la transtextualité
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... postérieure2.17
- mais aussi
diatopique et diastratique
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... actant2.18
- au sens d'un
actant dialectique, cf. [57]
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
l'univers2.19
- au sens d'un univers de la composante dialogique, cf. [57]
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... intertextuelles)2.20
- en effet, tout choisir est
comme ne rien choisir, il faut effectuer un choix. La culture,
nous le disions tout à l'heure, est un choix, cf. [59]
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... pratique2.21
- on cherche rarement, par exemple, une
cohérence thématique ou dialectique dans une
uvre surréaliste ; ou
du moins, on le fait sous des principes d'analyse différents.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... collective2.22
- témoin de l'appartenance à
une culture, à une organisation particulière de certaines catégories
de pensée, à la revendication d'une idéologie,...
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... textes2.23
- On a, par exemple, reconstitué l'ordre initial de la
composition des traités de Plotin, qui n'est pas celui de leur
organisation traditionnelle en Ennéades.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
totale2.24
- la première étant non accessible ; la deuxième portant
souvent le trait du sollipsime ; les deux étant peu intéressantes, en
tout cas.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... d'autres3.1
- Les processus
d'approfondissement et de rupture sont constitutifs d'une
interprétation et -- bien au delà -- du choix voire de la
revendication d'une culture (cf. [59])
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... avantages3.2
- allant, pour
certains, jusqu'à une économie cognitive de mémorisation
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... figées3.3
- cf. les
travaux du LADL [75].
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... local3.4
- qui détermine
bien sûr le global, dans une danse perpétuelle guidée par les deux
partenaires selon des rapports de dominance partagés mais non
symétriques.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... contexte3.5
- comme on le
verra dans la suite
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
texte3.6
- Les besoins précis d'une application peuvent exiger
d'autres niveaux intermédiaires. Le formalisme qui sera présenté plus
loin, conçu autour de définitions << recursives >>, reste précisément
ouvert à une telle adjonction.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
langue3.7
- diachroniquement, diatopiquement ou diastratiquement
délimitée
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
moment3.8
- nous le retrouverons dans la formalisation
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
intertextuelle3.9
- pour une présentation formelle, cf. le
chap.4
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... lecteur3.10
- ainsi que de son engagement dans un
des modes d'approfondissement ou de rupture
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
pleinement3.11
- il nous faut ici un sens intuitif de cette <<
plénitude >> : la différence entre ``non plein'' et ``plein'' se
situerait à la différence qui existe entre une signification (hors
contexte) et un sens (dans un contexte) ; cf. [57],
notamment la remarque, p.16
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... thématiques3.12
- Le néoplatonisme
privilégie une certaine lecture du même corpus.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
illumine3.13
- dans les meilleurs des cas ; car il pourrait aussi
obscurcir...
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
dire3.14
- en effet, on ne peut créditer un auteur d'une seule
intention de sens ; d'autre part, l'auteur ne peut à jamais assurer
l'interprétation de son texte dans la mesure où cette dernière le
dépasse comme le dépasse l'évolution d'une culture, d'une histoire,
d'une société. Il n'est d'ailleurs, le plus souvent, pas le mieux
placé pour analyser son
uvre. Nous retrouvons ici, reformulé dans
le monde textuel, le principe du génie cognitif : l'esprit n'est
pas forcément expert de son expertise.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... définitions3.15
- cf. l'analyse dans la partie 2.2
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... l'expression3.16
- cf. [57] pour la
tactique de l'expression d'un texte
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... intertexte3.17
- ou, même,
le suggérer à de potentiels lecteurs dans un objectif de contraindre
leurs lectures
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... productive3.18
- au sens d'une lecture productive, cf. [57, p.231] qui s'éloigne de ce qui est présent dans
le texte pour introduire des traits sémantiques qui ne s'y trouvent
pas. Ainsi, dans une compréhension << apocalyptique >> du marché
informatique actuel, où de plus en plus d'utilisateurs découvrent les
tentatives de domination sans précédent de Microsoft, on a pu
interpréter le nom complet de son directeur ainsi que quelques
produits de sa firme : le puissant ``Bill Gates'' se codait en 666
selon le standard de codage de caractères American Standard Code
for Information Interchange -- moyennant, bien sûr, un ensemble
d'opérations <<interprétativement ad hoc >>, notamment l'adjonction du
chiffre ``3'', pour troisième, car son ``vrai'' nom est William Henri
Gates III...Sans beaucoup de difficulté on pourrait, en variant
légèrement la méthode du calcul, que ``M. Poppins'' donne le
redoutable 666, et même ``Le Liasc''. En effet, moins l'anagnose est
spécifiée et réutilisée, plus on favorise l'interprétation arbitraire,
en se donnant librement la possibilité de varier la méthodologie et
ses paramètres. Une utilisation rigoureuse des ressources sémiques
présentes dans l'anagnose permet, comme on le verra, la création
d'analyses qui, même si elles sont productives, restent cohérentes et même comparables à des analyses plus descriptives.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... avant/3.19
- nous
utilisons le terme trait sémantique pour nous référer, aussi,
aux relations sémantiques
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
textes3.20
- cf. aussi les principes des approches
post-structuralistes, cf. 2.2.2
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... taxème3.21
- et, implicitement, en tant qu'éléments qui
distinguent les taxèmes entre eux
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... texte3.22
- comme, par exemple, la cohésion
des énoncés étranges, [56, chap. VII] ; pour une
description détaillée de la notion d'isotopie nous renvoyons à
[56], [57]
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
symbolique3.23
- il ne devient signe que par complaisance et
toujours abusivement !
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
construire3.24
- et, alors, souvent relativement plate et de peu
d'intérêt
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
analyse3.25
- cf. les analyses effectuées dans [56],
[57]
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... langue3.26
- et si l'on en définit un, il risque de ne guère être
utile
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
ensemble3.27
- voir, aussi, le problème de la primauté entre objet
et catégorie, déjà effleuré en
3.1.6
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... textuelle3.28
- de différent type ou
niveau
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... interprétant3.29
- cf. [66] et [58]
pour une discussion des différentes visions de cette notion.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
sémique3.30
- cf. relativement, la discussion dans
2.2.2
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... interprétant3.31
- comme nous l'avons mentionné
ailleurs, il constitue par essence un choix du lecteur
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
texte3.32
- du moins, la structure sémique du sémème en question ne
se trouve pas en contradiction directe avec les sèmes susceptibles
d'être introduits par un interprétant
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... langue3.33
- probablement dans un intervalle de
temps de l'ordre du millénaire comme il est suggéré dans
[57, p.50]
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... saillants3.34
- habituels ? abstraits ? probables ? les
modes de stabilisation ne nous occupent pas prioritairement ici
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...287)3.35
- exemple analysé dans [56, p.81]
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... lexies3.36
- Il s'agit, en réalité, de sémies, puisque nous mettons en relation les signifiés et non les
signifiants. Mais l'identification d'une sémie est le produit
d'une construction qui commence forcément par faire correspondre
une seule sémie à une lexie et découvrir au fur et à mesure des
sémies différentes correspondant à la même lexie. Pour une
économie terminologique et toujours en nous faisant crédit de
cette complaisance entre la sémiose de l'utilisateur et le
simulacre sémiotique du système informatique, nous utilisons le
terme lexie avec ce double sens : en tant que signifiant, entité purement textuelle, et en tant que signifié, entité sémantique correspondant au signifiant.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... l'intra3.37
- c.-à-d. des
parties textuelles contenues dans l'entité du niveau visé ; cf. 3.1.2
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... autre)4.1
- La structure interne du texte fera l'objet
de l'implémentation. Puisque nous optons pour une implémentation
objet, cette structure est gérée par une classe qui peut être
reprogrammée localement pour accepter une nouvelle structure
interne.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
'lexie'4.2
- souvent une position différente correspond à une charge
sémantique différente
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... lexie4.3
- Nous allons voir que, finalement, nous ne
considérons que des lexies qui font partie d'une interprétation, donc
des lexies sélectionnées par un utilisateur.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
intratextuelles4.4
- par exemple, dans [56] pour
distinguer les sémèmes en dehors de contexte et les sémèmes dans un contexte, i.e. un texte précis
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... système4.5
- et pour
des raisons d'uniformité avec les autres niveaux et de facilité
algorithmique plus tard
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
4.6
- Ce sont là
des sujets d'une réflexion qui concerne plutôt l'interprétation du
formalisme et donc l'application informatique.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... base4.7
- e.g. connaissances sur de la structuration d'un
dictionnaire encyclopédique
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... défaut4.8
- certains parleraient,
ici, d'attributions typiques.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
demandés4.9
- et bien sûr si elle est cohérente
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
4.10
- Comme nous allons
rencontrer plus loin, p.
, nous allons
travailler avec l'ensemble de constructions suivant :
,
,
,
,
,
,
,

.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... constituée4.11
- Ce n'est pas tout à fait le
moment mais la remarque est ici pertinente : un dictionnaire peut
être interprété ! De manière différente qu'un texte, certes, puisque
la compréhension d'un dictionnaire est beaucoup plus
directe. Cependant, l'information sémique d'un dictionnaire n'est
jamais directement ni totalement explicitée et savoir lire un
dictionnaire présuppose de se conformer à un certain nombre de normes
concernant sa réalisation : les caractères italiques entre parenthèses
introduisent souvent un domaine, les lettres ou chiffres, un nouveau
cas de signification, etc.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... qu'unités4.12
- nous avons déjà discuté de telles attributions, cf. par
exemple, p.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... égales4.13
- parce que la proximité des lexies demande des
conditions en plus de celles nécessaires pour établir la proximité
des textes
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... analysé4.14
- sauf dans des cas extrêmes où le texte
contient des directives explicites concernant ses analyses
potentielles, du type << les commentateurs de ce texte trouveront
que...>>
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... suivantes4.15
- Ce sont des propriétés qui ne concernent pas le
type (c) de la construction ; dans 4.3.4,
l'opérateur de construction portera, précisément, sur ce type et les
SST construites auront un ensemble de propriétés dépendant de c.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...z4.16
- comme nous le verrons tout de suite, x,
y et z sont des entités positionnées, à une exception
près...
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... 4.17
- le << type >> d'une
RE étant déterminé par sa deuxième projection -- ici toujours une
primitive appartenant à
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... sémique4.18
- pour nous, un ensemble d'attributions
sémiques, décrit formellement sous forme d'un ensemble de
(mono)isotopies
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... terminologie4.19
- du 13 octobre 1981...
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... fondée4.20
- D'autre part, une
interisotopie peut être vue comme une isotopie opérant sur des
CS entières, chacune correspondant à un texte de l'anagnose.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... textes5.1
- La raison en est que toute la conception
qui a présidé notre modélisation est fondée essentiellement sur la
pratique philologique.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... convivialité5.2
- usability
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... actuelle5.3
- C'est, d'ailleurs,
l'impression que probablement a eu le lecteur en lisant notre propre
formalisme, même si nous avons pris le soin de justifier a priori
quelques choix.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... GNU5.4
- Gnu's Not Unix, Free
Software Foundation Inc. [31]
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
Tcl/Tk5.5
- En effet la partie Tcl concerne la partie langage
interprété (Tool Command Language) et la partie Tk les outils de
l'interface proprement dite [52]. Les versions que nous
avons utilisées étaient : Tcl 7.6 et Tk 4.2
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
jour5.6
- De tels outils de développement publiquement accessibles
sont souvent issus de projets internes aux laboratoires de recherche
qui peuvent facilement et pour diverses raisons arrêter. Le choix est
délicat car si l'outil n'est plus maintenu, alors l'application qui en
a besoin est condamnée. Notre choix semble se révéler plutôt juste :
Hush est en ce moment (février 1998) en pleine expansion, cf. [19]
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
templates5.7
- classes ou fonctions dont le type d'un
ou plusieurs constituants est paramétré. Ceci nous permet d'écrire et
de maintenir une seule entité générique qui, pendant l'exécution du
programme, est concrétisée pour plusieurs types-paramètres.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... standard5.8
- Ces éléments tiennent compte de la situation
au moment de la programmation de la première version, c.-à-d. début
1997
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
loin5.9
- À trois reprises et pendant la compilation, g++
a rapporté un message d'erreur interne (internal bug) en
nous incitant à envoyer un rapport à l'équipe qui s'occupe de sa
maintenance !
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... informatique5.10
- évolution dramatique
cette dernière année
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... linéariser5.11
- le terme
consacré en anglais est serialize
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... dynamique5.12
- Nous verrons que l'opposition statique - dynamique
n'est pas convenable dans notre cas. La partie logique du modèle, que
nous présentons ici, intègre aussi la dynamique interne à
l'organisation des données, i.e. comment les objets du modèle
interagissent pour garantir la cohérence interne
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
vues5.13
- Souvent le terme vue est utilisé juste pour
la partie interface graphique, en laissant le contrôle de
l'interaction avec l'utilisateur à une troisième partie, celle du contrôleur. Étant donné que le contrôleur et la vue sont
étroitement liés, nous utilisons vue comme un terme plus
explicite pour parler d'un client du modèle logique,
responsable de l'interaction avec l'utilisateur.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... UML5.14
- Unified Modeling
Language
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... OMT5.15
- Object Modeling Technique
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
OOSE5.16
- Object-Oriented Software Engineering
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... OMG5.17
- Oject Management Group
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
1.15.18
- la version que nous utilisons pour les diagrammes qui
seront présentés.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... collaboratrices5.19
- i.e. Digital Equipment Corp., HP, i-Logix, IntelliCorp, IBM, ICON
Computing, MCI Systemhouse, Microsoft, Oracle, Rational Software,
Sterling Software et Unisys, dès UML 1.0 ; ObjecTime, Platinum
Technology, Ptech, Reigh Technologies & Taskon et Softeam ont rejoint
ce premier corps pour la version UML 1.1
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... d'utilisation5.20
- use
cases
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... logique5.21
- logical view
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... d'écouteurs5.22
- listeners
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...DB_EntPos.replace()5.23
- les noms en anglais sont
utilisés pour être conforme à la terminologie au sein de la classe
TextArea
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... linéarisation5.24
- serialization : les objets sont << linéarisés >> pour être écrits,
octet par octet, dans un fichier
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... lui-même5.25
- Java 1.1 contrôle aussi les versions : même si le
nom de la classe est le même, Java essaie de contrôler le contenu
des classes pour qu'une sauvegarde d'un objet ne puisse pas être lue
par un objet incompatible.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... système5.26
- à l'aide d'un algorithme de ramasse-miettes
(garbage collecting)
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... 1.15.27
- Java Development Kit
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... composante6.1
- Toutes ces
possibilités se retrouvent à plusieurs reprises et niveaux dans
l'histoire du petit bossu des Mille et Une Nuits.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... SGML6.2
- Standardized General Markup
Language
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... lecteur6.3
- Il s'agit, en effet, d'une constatation qui
dépasse le niveau du récit : une sorte de métaconstatation
de l'auteur en tant qu'<< écrivain de son propre texte >>, ou du
lecteur, en tant que commentateur du texte.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... informatique6.4
- à l'aide, par exemple, de
structures de données supplémentaires de type index
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... sémique6.5
- De ce point de vue, une sémantique lexicale
au sens fort du terme, apparaît, aux yeux de la SII, comme un
oxymore.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... lexies6.6
- en effet, de sémèmes ;
mais, nous avons déjà remarqué que le terme lexie, par
simplicité terminologique, opère pour nous sur les deux plans,
textuel et sémantique.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... supposées6.7
- Ce type
de traits sémantiques concerne le texte en tant qu'unité. Pour
justifier l'établissement d'un tel trait il faut comparer les
intratextes.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... Maldoror6.8
- Lautréamont, Les Chants de Maldoror, 1869
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... Lautréamont6.9
- par
exemple, le thème de l'arrogance funeste de la grenouille (qui pense
pouvoir égaler le b
uf) par rapport à celle de l'homme face à
l'océan
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... importantes6.10
- Cette notion est quantifiable de plusieurs
façons et selon les objectifs. Par exemple, un critère de sélection
assez naturel pourrait être l'étendue textuelle d'une CS,
c.-à-d. le niveau de textualité et le nombre d'entités textuelles où la
classe est située. Mais aussi, pour une analyse qui concerne, par
exemple, l'actualité, on pourrait privilégier les classes
sémantiques avec une date de création plus récente
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
public6.11
- d'ailleurs il n'est pas absurde de postuler, ici, une
certaine homologie entre un genre textuel et un genre de public
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... sujet6.12
- en
effet et selon la terminologie dialogique que nous avons mentionnée
plus haut, il s'agit du monde factuel de l'univers du
sujet ; d'ailleurs cet univers n'est pas seulement connoté par le
domaine d'appartenance du sujet mais surtout par son domaine de
référence.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... cible6.13
- Le différentiel entre source et cible ne doit pas être toujours compris comme concernant deux langues
étrangères au sens habituel du terme. La traduction peut aussi bien
viser un différentiel diachronique, diatopique ou diastratique, au
sein d'une même langue. Par exemple, du grec ancien au grec moderne,
d'un langage scientifique en un langage de vulgarisation, etc.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... 6.14
- Sans doute, elle sera toujours enfant de son époque, de
son objectif, d'une culture, bref d'une historicité [25].
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
considéré6.15
- au sens où elles ont été interprétées à l'aide de
cette structure sémantique
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
multimodaux6.16
- Actuellement, au sein d'un bon nombre de travaux,
parmi lesquels, le projet SemIndex, entrepris au sein du
laboratoire d'Intelligence Artificielle et Sciences Cognitives de
l'ENST de Bretagne, qui vise, entre autre, la textualisation des
images.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ...
adéquat6.17
- Dans cette direction, et au sein de la sémiotique de
l'image, le centre de recherche Almaden de la société IBM propose un
outil de recherche d'images que l'on peut interroger à l'aide d'images
[38].
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... Classes6.18
- Des
classes qui offrent une assistance maximale au développement ; elles
sont complètes, disponibles, et relativement correctes, ce qui permet
un développement très efficace.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... Platon)6.19
- Des heuristiques seront prévues à ce niveau. Le
système fera un tri des CS selon un ensemble de critères de
pertinence par rapport à la nouvelle CS. Un tel critère serait le
nombre des liens entre les deux textes (e.g. entre Phèdre et
Dialectique) dans l'anagnose ; ou bien, la distribution des
liens entre textes après la construction de la CS. Un tel
filtrage facilitera le choix mais aussi il contribuera à
l'optimisation de la densité d'une anagnose (au sens de liens
sémantiques entre textes).
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
- ... lexie6.20
- la même opération, bien sûr,
peut être effectuée pour un texte, si l'on cherche les anagnoses dans
lesquelles il a été analysé
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.